Étiquette : Telemann

CDs & DVDs, Critiques

Amours très sages (Charlotte Ruby, Le Concerto d’Amour, Des Ténèbres à la Lumière – Continuo Classics)

Voyage des Ténèbres à la Lumière Le Concerto d’Amour, Sonates et cantates baroques, Johann Valentin Meder (1649-1719) : Trio-chaconne...

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Vous avez un message (Sonne, sonne, cor de postillon – Ensemble Artifices – Seulétoile)

« Vive le cor de postillon, c’est mon symbole » (S. Kierkegaard) SONNE, SONNE, COR DE POSTILLON ! ES RUFT DAS POSTHORN! Michel...

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CDs & DVDs, Critiques

Bouillonnant (Per l’orchestri di Dresda, Les Ambassadeurs – La Grande Ecurie, Kossenko – Aparté)

Per l’orchestri di Dresda Johann David Heinichen (1683-1729) : Diana sull’Elba, S.200 : Sonata Jan Dismas Zelenka (1679-1745) : Il...

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CDs & DVDs, Critiques

Suiveurs de Lully (Muffat, Fisher, Telemann, El Gran Teatro del Mundo – Ambronay)

Les suiveurs de Lully en Allemagne Georg Muffat : Sonate n°2 en sol mineur (extraite de l’Armonico Tributo) Johann Caspar Ferdinand...

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CDs & DVDs, Critiques

En attendant Bach, Quatre cordes en vibration (Odile Edouard, Bach, Baltzar, Matteis, Westhoff, Biber… – La Matrice)

La collection de l’oreille Odile Edouard présente : En attendant J. Sebastian Bach « Quatre cordes en vibration » T. Baltzar :...

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CDs & DVDs, Critiques

Combiner les plaisirs (Bach, Telemann, Amarillis, Héloïse Gaillard et Violaine Cochard – Evidence)

Doit-on réviser ses classiques ou forcement succomber aux charmes souvent faussement enivrants de la nouveauté ? Faut-il revenir une fois encore à la subtile Barbara ou découvrir Aya Nakamura ? Laissons quelques parlementaires trancher cette dernière et épineuse question et rejoignons l’Ensemble Amarillis qui semble avoir tranché le nœud gordien.

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CDs & DVDs, Critiques

Telemann formidable ! (Suites & concertos, La Simphonie du Marais, Hugo Reyne)

Ce n’est pas le moindre des mérites de Hugo Reyne et de la Simphonie du Marais que d’avoir su composer un programme élégant, avant tout plaisant, tout en invitant le mélomane curieux à (re)découvrir que Telemann puise aux racines de la musique traditionnelle, au folklore régional entendu dans toute la noblesse du terme, pour en magnifier les accents et les rythmes et les insuffler dans compositions pleines de rythme, d’allant et de fraîcheur.

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CDs & DVDs, Critiques

Époustouflant violon (Corelli et al., Sonates pour violons, Pramsohler – Audax Records)

Pramsohler, pour interpréter ces œuvres, s’appuie sur une solide technique violonistique, un doigté précis, des coups d’archet nets et francs, une quête incessante des effets. L’écoute de ce CD apporte une richesse stylistique et une mine d’informations, notamment celle de la diversité des mouvements permettant ainsi une identification aisée de ceux-ci.

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Concerts, Critiques

Triomphe de l’art : Julia Lezhneva, Il Pomo d’Oro (Théâtre des Champs Elysées, Paris, 15 /11/2014)

Il y avait longtemps que je n’avais pas entendu une telle pureté dans le son d’un violon me suis-je dit alors que s’élevaient les premières notes du Concerto pour violon en si bémol majeur de Telemann. Dirigé par Dmitry Sinkovsky, également premier violon, l’attaque du concerto était précise et nette et la technique parfaitement maitrisée.

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CDs & DVDs, Critiques

« Creuser l’ennui, cette friche, pour en faire jaillir cette eau, la rêverie » (Schifanoia)

L’ennui apparaît souvent comme une des pires craintes du musicien, qu’il soit compositeur ou interprète. Schifanoia, c’est littéralement se soustraire à l’ennui ; c’est également le nom donné par Isabel Favilla et Inês d’Avena, diplômées de grands conservatoires européens, à leur duo, choisissant ainsi de défendre la cause « des œuvres baroques écrites destinées aux amateurs de musique pour passer le temps.

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Concerts, Critiques

Petits plaisirs d’été (Les Passions, abbaye de Boulaur, 17/08/2014)

Durant les mois d’été, la musique elle aussi s’éloigne des centres-villes et de ses salles solennelles pour mieux investir de nouveaux lieux, suscitant ainsi chez de nombreux estivants la découverte du répertoire musical, et chez quelques mélomanes la découverte de nouveaux lieux du patrimoine architectural de nos belles provinces.

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Concerts, Critiques

Des nouveaux quatuors (Rameau-Telemann, Les Ombres, Ambronay, 13/09/2014)

Quand on s’imagine Telemann ou Rameau, on pense à des hommes immortalisés à leur âge avancé mais avec un génie éternellement jeune et innovant. Mettre en parallèle ces deux monuments de la musique ne manque pas de logique. Rameau et Telemann n’eurent que deux ans de différence d’âge et composèrent sensiblement jusqu’à la fin de leur vie.

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Critiques, Littérature & Beaux-arts

Telemann, Autobiographies (Editions Symétrie)

Et pour continuer la comparaison, celle des bibliographies est tristement édifiante : à côté des milliers d’ouvrages sur Bach, de ceux recueillant ses écrits et même ceux de ses contemporains, recueillant la moindre ligne, ce qui concerne Telemann est peu de choses, et les livres en français sont fort rares.

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Concerts, Critiques

Stupeur et tremblements (Telemann, Bach – Arsys Bourgogne, Opera Fuoco, Stern – Cité de la Musique, 01/04/2014)

Il est des compte-rendus sur lesquels la plume préfère regagner son encrier, et fuit l’espace immaculé de la feuille. Des soirs de méforme, de relative déception, où même les plus grands peuvent faillir. Alors, on avouera brièvement, avec franchise, qu’Opera Fuoco n’était pas dans son assiette en ce concert du 1er avril…

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CDs & DVDs, Critiques

« Le réveil de Quixotte »

Juillet-Août 2012. Pour sa première collaboration avec agOgique, Fabio Biondi a choisi Telemann – un compositeur prolifique, de grand talent, d’une écriture absolue, capable de maîtriser n’importe quel langage musical – comme il l’explique dans l’entretien qu’il nous a aimablement accordé.

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CDs & DVDs, Critiques

« Romae salvus, patriae salvus, salvus Germanicus est ! » Suétone – Vie des Douze Césars

Depuis quasiment un quinquennat le monde musical est sans cesse traversé par des rumeurs de crise. Si dans les salons, salles de concert et autres lieux de diffusion on nous dit, c’est la crise, on ne peut plus monter des raretés, un énième Giulio Cesare de Haendel ou bien les recréations absolues de Tosca ou Carmen trouvent souvent leur place sur les affiches.

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CDs & DVDs, Critiques

De l’intérêt d’un retour aux sources

Instrument aujourd’hui encore confidentiel, le basson baroque, tel qu’on le connait dans sa forme en quatre parties, fut conçu en France au cours de la seconde moitié du XVIIème siècle. Les pays voisins s’en emparèrent bien vite, c’est ainsi que jusqu’à la fin du siècle suivant, le basson français cohabita avec ses prédécesseurs monoblocs issus de la Renaissance, appelés dulzian en Allemagne et fagotto en Italie.

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CDs & DVDs, Critiques

Galimatias en rondeau

La Holland Baroque Society a choisi de bâtir chacun de ses projets artistiques en compagnie d’un directeur musical chaque fois différent. C’est au tour d’Alexis Kossenko, flûtiste et musicologue dont le répertoire s’étend de la Renaissance au XXéme siècle, de diriger la phalange hollandaise autour de ce programme dédié à l’un des caméléons de la musique baroque : Georg Philipp Telemann.

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CDs & DVDs, Critiques

« Mais ce qui reste est l’œuvre des poètes » (F. Hölderlin, Souvenir)

Une parenthèse pour commencer, celle qui nous pousse à louer ces jaquettes traditionnelles ornées de toiles de maîtres, où de caractères typographiques avec d’élégants empattements énoncent le programme. Certes, le docte et élitiste concerti, quadro, sonate con basso di viola solista cède la place au plus resserré Viola di gamba qui claque comme une promesse exotique…

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CDs & DVDs, Critiques

En voilà un qui ne manque pas d’air !

Pour les baroqueux que nous sommes, voici un disque qui, de prime abord, attire la méfiance : une jaquette accrocheuse, un titre aguicheur, un artiste confirmé mais point nourri du sérail des cordes en boyaux depuis sa plus tendre enfance. Ajoutons à ces éléments suspects la présence de tubes, avec l’air de la Suite pour orchestre n°3 de Bach, le Canon de Pachelbel (mais bien complet car flanqué de sa Gigue) une transcription pour violon de la Sarabande de Haendel, désormais célèbre depuis le non moins fameux Barry Lindon…

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