Étiquette : Piau Sandrine

Concerts, Critiques

Le feu sous la glace (Lully, Atys, Gens, Piau, Vidal, Les Ambassadeurs – La Grande Ecurie, Kossenko – Tourcoing, 17 mars 2024)

“Je souhaite, je veux, je crains, je me repens” (Atys, acte III, scène 1) Jean-Baptiste LULLY (1632-1687) Atys, Tragédie en...

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CDs & DVDs, Critiques

De bric et de Brockes (Haendel, Brockes Passion, Arcangelo, Cohen- Phi)

  Georg Frederic HAENDEL Passion selon Brockes Sandrine PIAU, soprano Stuart JACKSON, ténor Konstantin KRIMMEL, bariton Ensemble...

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Actualités, Brèves

Saint-Michel en Thiérache : le festival est lancé du 6 juin au 4 juillet !

Qu’y a t-il donc à Saint-Michel en Thiérache ? Mais si, voyons, au nord-est du département de l’Aisne, ces...

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Concerts, Critiques

Désenchantement enchanteur (Haendel, Alcina, Les Talens Lyriques – La Monnaie, Bruxelles, 07/02/2015)

Alcina la magicienne perd ses pouvoirs en devenant follement amoureuse de Ruggiero. Ce dernier la trahira lorsque Melisso, sous les traits de son ancien mentor Atalante, l’aura ramené à la réalité. Au final, l’île enchantée disparaît, et la magicienne s’enfuit devant le triomphe de l’amour conjugal…

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Entretiens, Rencontres

“Une forte tête” : entretien avec Jérôme Correas et Sandrine Piau autour de Rameau

Quel est leur Rameau ? Sandrine Piau et Jérôme Correas nous reçoivent pour un entretien ensoleillé pour leur deuxième récital consacré au compositeur. Comme le dit le chef des Paladins : “c’est une forte tête, c’est un mauvais caractère très affirmé. C’est quelqu’un qui sait ce qu’il veut. C’est quelqu’un qui a beaucoup de fantaisie et de facétie derrière un masque un peu austère ou autoritaire…”

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CDs & DVDs, Critiques

Les couleurs du drame (Mozart, Desperate Heroïnes, Sandrine Piau – Naïve)

On ne présente plus à nos fidèles internautes Sandrine Piau et son remarquable talent dans les rôles de la tragédie lyrique française – dont elle témoignait admirablement il y a encore quelques semaines à Versailles, dans le rôle de Zélidie pour le Zaïs de Rameau.

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Concerts, Critiques

La constance de l’Amour (Rameau, Zaïs, Les Talens lyriques, Rousset – Versailles, 18/11/2014)

Pour nous présenter l’oeuvre, Christophe Rousset a choisi la version d’avril 1748. Comme à l’habitude il anime avec une précision minutieuse un orchestre des Talents Lyriques aux sonorités moëlleuses et aux attaques bien ajustées. Les percussions qui évoquent le chaos lors de l’ouverture du prologue offrent un effet saisissant particulièrement réussi ; elles semblent préfigurer les déconcertants accords syncopés du prélude du cinquième acte des Boréades.

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CDs & DVDs, Critiques

Ceci n’est pas une cantate (bis)

Malgré tout le bien que nous pensons de cette réalisation, qui adopte une vision lumineuse et sereine, doublée d’une clarté des lignes de Pulcinella qui n’est pas sans rappeler les enregistrements de Christophe Coin, nous devons hélas être cohérents avec nos convictions, que certains trouveront extrêmes…

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CDs & DVDs, Critiques

La Guirlande de mai (Le Triomphe de l’Amour, Piau, Corréas, Les Paladins – Naïve)

Depuis la redécouverte du baroque français, les projets et les orchestres se sont multipliés, poursuivant les incessantes découvertes. Parmi les voix de la troupe pionnière des Arts Florissants se distinguèrent l’aérienne Sandrine Piau et la basse élégante de Jérôme Correas.

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CDs & DVDs, Critiques

"Nella pupille tue folgora il lume", Almirena (dedans tes yeux rayonne la clarté)

L’on serait presque enclin à soupirer devant un énième récital d’airs de Haendel, à la jaquette légèrement Andy Wahrolisée. Certes, la distribution en est alléchante, avec deux grandes dames du baroque que le livret encense sans mesure, mais l’on se dit tout de même que ces florilèges démembrant les airs des opéras sont autant de carottages géologiques d’un massif autrement plus intéressant.

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CDs & DVDs, Critiques

Le triomphe d’Alexandre

On pourrait presque dire qu’Alessandro Scarlatti est à la cantate ce que Graham Bell est au téléphone. Car c’est sous sa plume et très prolifique que se stabilise la forme de la celle-ci avec ses récitatifs et ses airs da capos étendus. Gérard Lesne et Il Seminario Musicale effleurent dans ce disque à peine 1/100ème de sa production : 6 cantates sur 600 donc – quoiqu’ Edwin Hanley en recense même 783 entre 1688 et 1725 -, principalement pour voix seule, avec un faible pour les tessitures de soprano et d’alto.

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CDs & DVDs, Critiques

Une interprétation bouleversante.

Les motets enregistrés ici appartiennent au genre du petit motet et datent de la fin du règne de Louis XIV. On y retrouve le style français un peu maniéré lié dans une intime alchimie à des passages italianisants. Les accompagnements instrumentaux sont discrets et élégants, souvent confinés à des violons ou des flûtes allemandes.

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