Étiquette : théâtre

Actualités, Brèves

Coucher du soleil noir d’Atys (décès de Jean-Marie Villégier)

« Les personnages chantant ne sont pas de chanteurs au sens où on l’entend dans l’opéra italien par exemple, ce sont des...

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Actualités, Brèves

Le spectacle de Noël revient au TCE !

  C’est une excellente initiative que ce retour. Non pas celui d’Ulisse en sa patrie, mais celui de la pièce de théâtre...

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Critiques, Expositions & Sorties

Manque de graves (Süskind, La Contrebasse – Clovis Cornillac)

On ne présente plus La Contrebasse, publiée en 1981 par Patrick Suskind. Le bref court roman, d’une belle concision, retrace le portrait de ce musicien de l’Orchestre National, où à travers une relation d’amour-haine avec l’instrument sont passés au crible tantôt ironique, tantôt désespéré, le portrait d’une vie d’artiste aux illusions musicales comme amoureuses déçues, à l’amertume d’une Sarabande, solitaire mais en musique.

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Critiques, Expositions & Sorties

“Je suis jaloux de tout ce qui te touche / De l’air qui si souvent entre et sort par ta bouche”

Le rideau se lève. Une demi-pénombre que vient à peine troubler la rampe et des herses de bougies, tournées vers les coulisses. Deux machinistes se tiennent, droits, écoutant le silence de la salle. Tendus vers eux, les écoutant aussi, nous les voyons tourner lentement les herses vers le fond de la scène.
Trois fois. Et la magie s’opère, délicatement.

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Critiques, Expositions & Sorties

« Boire de l’eau de framboise avec vous me comble »

C’est dans le cadre intime et flottant de la Péniche Adélaïde (un nom qui plairait à Nattier) que nous avons assisté à la reprise de La Veuve et le Grillon de Daniel Soulier, comédie baroque autour des airs de cours français, joute imaginaire entre une morganatique Madame de Sévigné et un Monsieur de la Fontaine on ne peut plus bon vivant.

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Critiques, Expositions & Sorties

« Ce fantôme de Richelieu, c’était Mazarin. Or, Mazarin était seul et se sentait faible. » (A. Dumas, Vingt ans après, Chapitre 1)

Il se lève lourdement, grogne, malmène son monde avec une légèreté malicieuse, réclame sa bassine et ses parfums. A 79 ans, Claude Rich jubile visiblement à se glisser dans la peau d’un génial moribond, vêtu d’écarlate. Car ce Diable Rouge, prélat venu d’Italie, Premier ministre mal-aimé de son vivant (les Mazarinades de La Fronde l’illustrent bien), perdu dans l’ombre de l’implacable Richelieu…

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Critiques, Expositions & Sorties

De l’éloquence du geste et de la parole

Comment résister à l’invitation que nous lance Jean-Denis Monory d’aller assister à une comédie baroque, dans un théâtre baroque avec gestuelle et déclamation baroques ? C’est chose difficile, d’autant plus que ces occasions-là ne courent guère les rues parisiennes…

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