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CDs & DVDs, Critiques

L’Écho retrouvé

Présageant dans sa maxime lapidaire le temps des touristes absents, des cacophonies photographiques et des dialectes multicolores, Arbit Blatas, artiste plastique et laconique observateur du monde, nous livre l’image la plus précise de la Sérénissime délaissée par les hordes qui l’envahissent sans cesse.

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CDs & DVDs, Critiques

“La langue noble est moins favorable à la musique »

Nombreuses sont les critiques qui ont fusé contre Alexandre Pitra, le librettiste adaptateur de cette Andromaque, tout comme autant de reproches d’inexactitude et d’imprécations contre ce que qualifiera le sulfureux comte Grimm d’ hérésie du goût.

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Critiques, Littérature & Beaux-arts

"Il aime la musique & s’y connoît" (J.-L. Lecerf de la Viéville)

Le Prince et la musique : sous ce titre qui présente le Grand Louis sous les traits d’un Prince mécène de la Renaissance, et qui n’est pas sans rappeler celui de l’étude de Philippe Beaussant, Le Roi artiste (Payot, 1999), l’ouvrage dirigé par Jean Duron, chercheur au Centre de musique baroque de Versailles et directeur dudit Centre, analyse les passions musicales d’un roi dont l’omniprésence sur tous les fronts de l’art et de l’architecture n’est pas uniquement imputable au goût…

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Critiques, Littérature & Beaux-arts

Le Poète des Grâces

Voici bien des années que Buford Norman, professeur retraité de l’Université de Caroline du Sud, s’intéresse à la littérature et au théâtre du Grand Siècle et que ses recherches l’ont conduit à examiner les rapports entre la musique et les lettres au XVIIème siècle. Parmi ses articles sur Quinault, les mélomanes se souviennent du court essai qui accompagnait le livret de l’Alceste de Lully par Jean-Claude Malgoire (Astrée), d’autres ont parcouru ses éditions critiques de Quinault…

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CDs & DVDs, Critiques

La luxuriance du chœur

Grand oublié de l’histoire, Pierre Robert fut pourtant avec Henry du Mont celui qui porta durant la période la plus prospère du Règne de Louis XIV, le genre du grand motet à son accomplissement. Tout deux devinrent par semestre Sous-maîtres de la Chapelle Royale en 1663 et quittèrent leurs fonctions en raison de leurs réticences aux demandes d’évolution du Roi, en 1682 lors de l’installation officielle de la cour à Versailles.

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