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mise à jour 6 janvier 2014
| Utilisation liturgique des cantates de Bach à Leipzig
Saint-Thomas. Gravure de J.G. Krügner, in Ordnung der
Schule zu S. Thomae, 1723. On sait que Bach composa plusieurs cycles de cantates sacrées pour Leipzig. Plus de 200 oeuvres sur 300 environ nous sont parvenues. En tant que Cantor, Bach devait veiller à l'execution hebdomadaire de musique sacrée dans les églises de la ville. A Saint Thomas et à Saint Nicholas, l'on jouait de la musique figurée, c'est-à-dire de la musique d'ensemble concertante. L'église Neuve se contentait de motets et chorals tandis que Saint Pierre n'avait que ces derniers. A Saint Thomas et Saint Nicholas, quand étaient jouées les cantates de Bach ? La réponse apparaît au dos de la copie du BWV 61 "Nun komm, den Heiden Heiland" composé à Weimar vers 1714 mais redonné à Leipzig. Ces quelques lignes retracent le déroulement du service religieux de Noel. Nous en donnons le texte ci-après tel qu'il est cité par W. Sandberger dans son Bach 2000, vingt-quatre inventions sur Johann Sebastian Bach, J.B. Metzler Verlag, 1999. Les mots en latin et les majuscules le sont dans le document original.
En sus de la cantate elle-même (9) accompagnée d'un prélude à l'orgue, il y avait donc d'autres morceaux de musique. Les Introïts étaient tirés d'une vieille anthologie : le Florilegium Portense de 1618. Dans le cas où la cantate était en deux parties, la seconde étaient exécutée pendant la Saint Cène, sub communione.
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