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20 janvier 2014

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"Ici Muse Baroque, les baroqueux parlent aux baroqueux"

 

Foire aux Questions

où il est enfin répondu à la légitime curiosité de nos bien-aimés lecteurs

 © Château d'Ecouen / Muse Baroque, 2008

 

Suite à notre consultation de janvier 2009, nous avons reçu de nombreux courriers des lecteurs et nous vous en remercions. Voici donc quelques débuts de réponses à vos interrogations les plus fréquentes et les plus impertinentes, que nous avons retranscrites "dans leur jus". Cette rubrique continuera d'être enrichie au fil de votre curiosité. Pour les aspects juridiques, on se réfèrera aux mentions légales.

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Sur la revue en général

Bonjour, comment est né le magazine, si ce n'est pas indiscret ?

 Muse Baroque est née de l'inspiration hivernale de quelques passionnés il y a plus de 5 ans. Ce noyau s'est rapidement étoffé de musiciens amateurs ou professionnels, étudiants en musicologie et en histoire, journalistes... A l'origine, le site se voulait un parcours à travers la musique baroque, une flânerie où l'on retrouverait pêle-mêle une discothèque idéale et des précisions historiques ou musicologiques. De ces limbes, la revue a conservé une approche très transversale, et une grande diversité de ton et de contenu.

Vous êtes les seuls à traiter uniquement de musique baroque, est-ce que ce n'est pas un domaine trop restreint ?

 Muse baroque se concentre sur la musique baroque, de Monteverdi à Haendel, mais nous avons aussi désormais quelques rubriques consacrées à la musique ancienne (médiévale et Renaissance), et à la musique classique jusqu'à Mozart en guise de prologue et d'épilogue. Effectivement, depuis la suppression de l'édition française du magazine Goldberg, nous sommes la seule parution francophone à couvrir exclusivement le monde de la musique baroque et ancienne. Et il y a déjà fort à faire !

Cela ne signifie naturellement pas que nous ne nous intéressons pas à la musique romantique, que nous n'apprécions pas – en cachette et honteusement – des opéras de Verdi et du piano de Satie. Mais ce n'est pas notre cœur de métier, et nous laissons des chroniqueurs plus experts que nous dans ces territoires exotiques pour nous spécialiser sur le monde merveilleux des cordes en boyau, des trompettes naturelles, des clavecins et de la basse continue.

Est-ce que vous privilégiez un répertoire ou un compositeur en particulier ?  

 Tous les genres, pays et époques sont abordés du Moyen-Age à Mozart, et nous tentons de trouver un équilibre subtil afin d'ouvrir le plus largement possible les choix musicaux. Naturellement, en fonction de la production du compositeur, de sa renommée, et des goûts personnels des rédacteurs, il peut arriver que certains soient favorisés dans notre discothèque. Toutefois, nous nous faisons un devoir de vous faire découvrir des œuvres originales, voire totalement méconnues. C'est d'ailleurs un des critères d'attribution de la Muse du Mois, et la raison de notre collaboration avec des labels peu connus dans l'Hexagone tels Cantus, Verso, ORF…

Je vous ai trouvé par hasard grâce à un moteur de recherche et je voudrais vous citer comme source dans un de mes exposés à l'université. Est-ce que cela ne vous pose pas de problèmes ?

 Je vous en prie… Il faut toutefois garder à l'esprit que Muse Baroque se veut une revue grand public et que nos articles doivent donc concilier rigueur et facilité de lecture. Nous ne saurions donc trop vous conseiller de poursuivre vos recherches en bibliothèque également. Au passage, on notera que Muse Baroque est extrêmement bien référencée dans les principaux moteurs de recherche et apparaît en première page pour les mots-clés "musique baroque". Cela s'explique par son vaste contenu (plus de 3300 pages en octobre 2009), la longueur de ses articles et l'actualisation constante des contenus.

Quel est le principe de l'Editorial du mois ? Il s'agit parfois de précisions historiques, d'introduction générale au sommaire, de considérations d'actualité, de pensées provocantes...

 L'Editorial du mois est avant tout une chronique, un billet d'humeur caméléon, libre, imprévisible. Sa nature changeante fait - nous l'espérons - justement son charme. L'Edito, c'est un brin de conversation, détendue, un peu mondaine, ce sont les quelques mots que nous aurions échangé au buffet d'un après-concert... L'Edito, c'est un petit peu de tout, et beaucoup de petits riens. Et il convient de préciser qu'il n'engage que son auteur, le Rédacteur en chef, et ne reflète pas toujours l'avis unanime de toute l'équipe de la revue.

Votre style est délicieusement complexe, ce qui ne le rend pas forcément des plus faciles à lire. Est-ce que vous pourriez le simplifier un peu, comme dans les autres revues ?

 Au contraire. Ce ton "délicieusement complexe" que vous signalez est l'une des caractéristiques de la revue. Hommage à la prose équilibrée de l'époque, à une élégance et à une recherche du langage qui espère ne pas tomber dans la préciosité. Ce style très littéraire, quelquefois excessif, souvent drôle (enfin, nous l'espérons) constitue notre étendard. A l'heure du langage SMS et du langage télégraphique, nous sommes fiers d'être le cauchemar des collégiens avec nos incises, nos subordonnées, nos parenthèses qu'on oublie parfois de refermer, nos alignements d'attributs du sujet et d'adjectifs, nos pendants d'adverbes, nos paires de qualificatifs. Et nous nous excusons d'avance pour les coquilles qui subsistent malgré notre attention et que nous traquons inlassablement jusqu'à dans nos archives et notre sommeil.

Je suis surpris de  trouver des jeux de mots et plaisanteries douteux dans une parution aussi professionnelle. Comment pouvez-vous comparer une interprétation avec un vieux whisky ou un film avec Sandrine Kiberlain ? Cela est amusant, mais totalement hors sujet.

 Nous sommes tout à fait d'accord avec vous, ces calembours et saillies spirituelles sont totalement hors sujet. Elles viennent de temps à autre comme une cerise impertinente sur le gâteau, mais les arguments qui étayent nos jugements sont ailleurs, sans vouloir paraphraser le slogan d'une série à succès.

PS : vous n'aimez pas Sandrine Kiberlain ? 

Combien y a-t-il de lecteurs mensuels ?  

 Muse Baroque compte plus de 45 585 lecteurs réguliers (Mars 2011), et cette tendance à la hausse se poursuit.

Tableau statistique du mois de mars 2011 : 45 585 visiteurs uniques (Webstats)

 

Est-ce qu'on peut s'abonner à une version papier du magazine ?

 Non, Muse Baroque est exclusivement disponible sur Internet, ce qui présente de nombreux avantages. L'absence de coûts d'impression garantit aux lecteurs un magazine entièrement gratuit, sans publicité, dont le vaste contenu est à tout moment disponible en ligne, soit plus de 2000 pages classées par rubriques. L'actualisation en est permanente, et la longueur des articles bien moins limitée que sur un support papier. En un mot (ou plutôt en trois) :  réactivité, indépendance, éloquence sont nos raisons. Fini le temps où vous recherchiez compulsivement un vieux numéro d'une revue papier avant de découvrir que vous ne l'aviez pas trouvé en kiosque !

Peut-on réutiliser le texte et les images de Muse Baroque ?

 La reproduction d'extraits de critiques est autorisée en citant obligatoirement la source. Dans le cas de site Internet, un lien précis vers la page considérée est requis. Pour tout autre détails, merci de se référer aux mentions légales et nous contacter en cas de besoin. 

Comment puis-je participer à la revue ?

 Nous recherchons en permanence de nouveaux collaborateurs (bénévoles). Quelque soit votre lien avec la musique (journaliste, étudiant, musicien, mélomane éclairé, discophile pathologique ;-), n'hésitez pas à nous contacter pour rejoindre notre équipe enthousiaste. Nous sommes notamment à l'affût de rédacteurs en province et à l'étranger afin d'élargir notre couverture de concerts. 

Bonjour, je ne vois pas de publicité sur votre site, contrairement aux autres webzines musicaux. Est-ce que vous êtes financés par des maisons de disques ? Cela ne nuit t-il pas alors à votre impartialité ?

 Muse Baroque est un magazine entièrement bénévole, financé par ses membres et par des dons. Nous ne recevons aujourd'hui aucun financement pécuniaire de la part des maisons de disques, salles de concert ou agents d'artistes. Seuls les éventuels frais de déplacement, d'hébergement et les invitations presse sont acceptés. 

Est-ce qu'il est possible d'avoir un devis pour une bannière clignotante de publicité en page d'accueil ?

 Pour le moment, nous n'envisageons aucun partenariat ou offre commerciaux. Seuls des liens rédactionnels et journalistiques peuvent être noués. C'est ainsi le cas avec Classiquenews.com ou Calliope.

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Sur les critiques de CDs et de concerts

Pourquoi trouve t-on aussi de vieux enregistrements dans vos critiques de CDs ?

 Il ne s'agit donc pas de critiquer seulement les nouveautés, mais bien de chercher des enregistrements d'excellente qualité qu'on se plaît à écouter et à réécouter. Or, depuis les débuts de la "révolution baroque" des 70's voire même avant, bien des parutions sont passées sous les ponts. Fallait-il donc pour autant oublier le raffinement altier de Ralph Kirkpatrick, les balbutiements enthousiastes d'Harnoncourt, la flûte suggestive de Frans Brüggen ? Voulez-vous faire un autodafé du vintage Christie du temps d'Atys et de la première Médée, rayer la génération Malgoire, balayer les perles de Savall sous prétexte qu'elles sont trop anciennes ? Ja-mais ! Ces "anciens" enregistrements, fruits des 2 générations précédentes, ont une valeur documentaire considérable puisqu'ils témoignent d'une manière d'aborder l'interprétation baroque désormais souvent remise en question, et leur valeur artistique demeure intacte... pour les meilleurs d'entre eux.

Pourquoi toutes les nouveautés baroques ne sont pas chroniquées ? Je ne trouve pas les derniers enregistrements de Mozart par René Jacobs... Et il manque aussi des labels entiers tels *** ou ***.

 Le principe de notre rubrique de critiques de CDs et de DVDs n'est pas de couvrir exhaustivement toutes les sorties mais de bâtir une discothèque de référence, et de rendre compte des parutions les plus prometteuses du moment. Il s'agit donc bien d'une sélection qui est inspirée par l'actualité mais aussi un certain équilibre entre les catégories d'œuvres, les époques et les compositeurs. De très nombreux labels nous ont accordé leur confiance et nous les en remercions : Alpha Production, Ambroisie, Ambronay Edition, Arte Verum, Calliope, Codaex (distributeur Analekta, Bis, Chandos, CPO, Raum Klang, Verso...), Decca, Deutsche Gramophon, EMI, Fuga Libera, Intégral (Integral Classic, distributeur Arthaus Musik, Ars Musici, Cantus, ORF, TDK...), Mirare, Ricercar, Satirino, Virgin Classics, Zig-Zag Territoires...

Nous serions naturellement ravis de pouvoir nouer une collaborations avec d'autres maisons, groupes ou distributeurs.

Si c'est une discothèque de référence, pourquoi y a t-il parfois de mauvaises notes ?

 Les CDs rassemblés ici ont tous subi une présélection par le comité éditorial. Hélas, nos espoirs de mélomanes peuvent être déçus, et nous le faisons alors savoir. Il ne s'agit jamais de "descendre" un artiste ou une formation, mais simplement d'expliquer pourquoi l'enregistrement nous a déplu de manière argumentée et nous n'oserons dire objective car une critique ne peut jamais véritablement y prétendre et traduit avant tout l'avis éclairé de celui qui la rédige.

Pourquoi certaines critiques sont nettement plus longues que d'autres ?

Il ne faut pas négliger la légende des siècles, le poids des mots et le choc des titans... Muse Baroque existe depuis 2003 et s'est considérablement développée depuis sa naissance. A l'origine, les critiques étaient de simples nodules, assez succinctes, sur le modèle du Guide de la musique ancienne et baroque (Diapason, 1992). A l'occasion, certaines ont été complétées afin de répondre au nouveau format de la revue, mais ce n'est pas encore le cas de toutes.

Pourquoi ne critiquez-vous pas les enregistrements sur instruments modernes ? Richter, Rilling, Karajan, ça ne vous dit rien ?

 Nous nous concentrons en priorité sur les interprétations sur instruments d'époque, du renouveau baroque des années 70 à nos jours. Il s'agit là d'un choix interprétatif que défendons avec conviction. Mais on trouvera tout de même au hasard de nos pages les pianos égarés de Glenn Gould ou Edna Stern, les cordes modernes de Rostropovitch, les orchestres mozartiens entiers de Levine... Rassurez-vous, nous péchons tout à fait rarement, et faisons pénitence à coup de petits nenfants prépubères du Tölzer Knabenchor s'époumonant chez Bach.

Est-ce que vous ne seriez pas un peu puristes dans vos critiques de disques ou de concerts ? On a l'impression que sans instruments anciens et sans mise en scène avec des perruques, rien ne vous plaît.

 Vous n'avez sans doute pas lu notre critique de l'expérience laser de liturgie spatiale de Kulik sur les Vêpres de Monteverdi... Il est vrai que nous sommes assez traditionnalistes par nature, que nous aimons que les livrets soient respectés, que les costumes soient opulents et visuellement beaux, que les œuvres soient jouées par les types d'instruments pour lesquels elles ont été conçues. Oui, nous aimons Ponnelle, Strehler et Pizzi. Cependant, une recréation sclérosée et gentillette, vide de sens dans son narcissisme d'époque, renfermée dans le soin de la boutonnière brodée d'or et du trille ne nous satisferait pas non plus. Une interprétation avant-gardiste mais puissante n'est pas pour nous déplaire, bien au contraire. Ne généralisons donc rien (même si les instruments anciens demeurent essentiels à la bonne compréhension de la musique baroque).

Les dates que vous donnez ne sont pas les mêmes que sur les jaquettes des CDs...

 En effet, il existe environ trois dates possibles pour chaque enregistrement, ce qui rend les choses confuses, d'autant plus que les notes de programme ne sont pas toujours limpides sur ce point. Pour les nouveautés et les enregistrements récents, la date est la date de parution, souvent postérieure d'un an à celle de l'enregistrement. Pour les live et les enregistrements anciens, est donnée la date de captation ou de première parution dans la mesure du possible. En outre, l'affaire se complique lors des compilations, ou des rééditions. Il s'agit donc d'une information donnée uniquement à titre indicatif.

Pourquoi ne couvrez-vous pas plus de concerts baroques en province ?

 Nous n'avons pas pour but de couvrir exhaustivement tous les concerts baroques de la saison. Il s'agit plutôt d'une sélection variant au gré des évènements et du goût des rédacteurs. Nous cherchons toutefois augmenter notre couverture des manifestations en France et en Europe, à nouer d'autres collaborations avec les opéras, salles de concerts et festivals. Mélomanes habitués de la Monnaie de Bruxelles, Lyonnais et Toulousains, Lillois et Normands, Madrilènes et Italiens, festivaliers estivaux, où que vous soyez, n'hésitez pas à nous contacter.

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Sur l'ergonomie du site

Quand allez-vous relooker le site pour qu'il y ait plus d'animations et un design plus moderne ?

 Le site Internet de Muse Baroque est volontairement sobre, d'une austérité technique janséniste tempérée par son iconographie opulente. A l'heure où le .php et le flash pullulent, où les menus déroulants, les vidéos et autres modules animés et cadres se multiplient, nous avons voulu continuer de privilégier une navigation simple et intuitive, et laisser un vaste espace de lecture. Ce choix ergonomique s'allie à un parti-pris esthétique fidèle à l'époque qui nous intéresse : les polices des titres, photos, images, et fond renvoient au Grand Siècle ou au Siècle des Lumières. Par exemple, nous nous refusons à accentuer les capitales, conformément à la typographie de l'époque (cf. le Grandjean, "caractère du Roi") et nous utilisons avec générosité l'esperluette.

La charte graphique a été pensée afin de concilier harmonieusement cette passion pour l'histoire avec la modernité du support.

Bonjour, je me demande depuis un moment quelle est la statue qui vous sert de logo…

 Il s'agit vraisemblablement d'une Diane romaine (et non d'une Muse comme certains lecteurs attentifs l'ont remarqué) datant de la fin du Ier siècle ou du début du IInd siècle sous les règnes de Trajan ou d'Hadrien. Elle provient du site antique d'Italica, en Espagne.

Je tiens à vous féliciter pour la très belle esthétique de votre revue qui convient parfaitement au sujet, cela fait en effet très baroque ! Quelle est la belle police marron que vous utilisez pour les titres et les détails des CDs ?

 Merci beaucoup pour ces compliments. La charte graphique du site, bien qu'un peu "ancienne", est inspirée pour le fond vert par les motifs floraux qui ornaient les meubles - comprendre les tentures et rideaux et garnitures de sièges - de l'époque. Le vert pâle rappelle la Régence (des essais en damas rouge et or à la Versailles se sont avérés… illisibles).

Pour la typographie, nous avons gardé un beau Garamond inspiré d'une police du XVIème siècle (notons au passage que le Garamont de l'Imprimerie nationale s'écrit avec un "t" final alors que l'inventeur Claude Garamond s'écrit avec un "d"). Ses caractères à l'ossature élancée, pourvus de beaux empâtements réclament cependant beaucoup d'espace pour une bonne lisibilité. C'est pourquoi le corps des textes est rédigé dans un Arial moins élégant mais plus direct et… "moderne", descendant du "Akzidenz-Grotesk"  berlinois de 1896.

Bravo pour cette iconographie très chic et un peu vieux jeu. Quel est l'affichage optimal pour lire le site ?

 L'affichage optimal est 1280 x 800. Un minimum de 1024 x 768 est fortement recommandé.  Nous avons fait le choix d'éviter les grandes marges blanches qu'on rencontre souvent sur les sites Internet et qui permettent de jouer sur différentes résolutions en raison de la perte de place qu'elles induisent. Muse Baroque se croque donc à pleines pages. En contrepartie, les affichages très anciens comme 800 x 600 ne sont pas correctement supportés (images géantes).

Quel est le navigateur recommandé ?

 Muse Baroque est prévu essentiellement pour Internet Explorer, Mozilla Firefox et Google Chrome. De légères variations de marges et de polices (notamment l'affichage du Garamond) peuvent survenir en fonction des navigateurs. L'extrême simplicité du codage de Muse Baroque devrait être compatible avec la majorité des navigateurs et des logiciels de protection (absence de pop-up et autres fioritures technologiques).

Est-il nécessaire d'installer des plug-ins particuliers pour lire Muse Baroque ? Faut-il des logiciels particuliers pour écouter les extraits audio ?

 Mis à part Acrobat Reader qui est requis pour lire les partitions ou certains scans de document d'époque, aucun logiciel particulier n'est en principe requis.

Peut-on télécharger de la musique ou acheter des CDs sur Muse Baroque ? Y aura t-il plus de vidéos ?

 Muse Baroque n'est pas un site commercial et nous ne proposons ni vente par correspondance, ni plate-forme de téléchargement légal. Seuls quelques courts extraits sont écoutables en ligne, et servent d'illustrations aux critiques et articles. Des vidéos extérieures sont parfois incluses en liens directs (Youtube...), notamment dans le cas de bandes-annonces ou  d'extraits de DVD, mais Muse Baroque ne réalise pas de vidéos elle-même et n'est pas responsable du contenu de celles mise à disposition à partir d'autres plates-formes.

 

 

 

Affichage minimum recommandé : 1280 x 800

Muse Baroque, le magazine de la musique baroque

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