De là l’arc embrasse les airs d’un cercle imparfait…
Après un premier enregistrement remarqué consacré à la Cour des Habsbourg, Stravaganza à contresens de son nom se tourne non vers le stylus phantasticus mais vers la plénitude corellienne. Un Capriccio d’une raideur nerveuse, avec ses traits violinistiques qui déchirent le silence, impulsant des accents para-vivaldiens qui s’épanouissent en arabesque.