The King should rejoice (Piffari del Doge, InAlto ǀ Haendel, Coronation Anthems, Concert Spirituel, Niquet – Saint-Michel en Thiérache, 25 juin 2023)
« Un trône n’est qu’une planche garnie de velours » (Napoléon Ier) Nous revenons avec plaisir dans cet écrin...
Nota Bene ! (Keynotes, Corina Marti – Ramée, 2022)
KeyNotes Musique européenne ancienne pour claviers, Works from the codices of Faenza, Robertsbridge, Buxheim, Las Huelgas, Florence et...
Le clan des siciliens (Storace, In modo pastorale, Mankar-Bennis – L’Encelade)
Bernardo STORACE (circa 1637 – c. 1707) « In modo pastorale » Pastorale, Caprioco sopra Ruggiero, Ciaccona, Recercar, Bergamasca...
Un bon tuyau : dépose du grand orgue de Notre-Dame de Paris
Grand jour que ce 9 décembre, non pour Saint Pierre Fourier ou Sainte Leocadie, mais parce que la dépose d’une grande part des tuyaux du grand orgue de Notre Dame de Paris, débutée le 3 août, est enfin achevée.
Le grand orgue de la Cathédrale de Nantes est parti en fumée
Nouvelle terrible, le grand orgue de la Cathédrale Saint-Pierre et Saint-Paul de Nantes a été ravagé par les flammes
On élèvera donc un bref cri de désespoir à l’idée que ce magnifique buffet des XVIIème et XVIIIème siècle, rescapé des méfaits révolutionnaires et des bombardements de 1943 et 44 ait finalement été anéanti en période « calme » et déconfinée… La question des efforts et du budget alloué à la restauration, l’entretien et la surveillance de nos cathédrales se pose avec une acuité sans pareille.
La marche des ombres joyeuses (Olivier Baumont, Les Ombres heureuses, Les Tempéraments / HM)
Olivier Baumont démontre, par son interprétation magistrale, toute la richesse de cette période, tant par la diversité des compositeurs, que par le respect d’œuvres tour à tour tendres et vives, mêlant musiques populaires de l’époque et réminiscence d’oeuvres majeures comme La timide de Rameau dans le Concerto en ré majeur de 1749 de Claude Balbastre.
« Les maîtres de musique »
Après l’édition de l’an passé, nous revoici à Lanvellec pour la fin de cette édition consacrée cette fois-ci consacrée aux maîtres de musique, mais qui ne délaissera pas la « folie » qui nous avait précédemment gagné. On y retrouve cette ambiance si particulière et terriblement difficile à transcrire, la magie des lieux que transcende la musique…
« L’Itinéraire »
Comme le veut la tradition c’est Ton Koopman qui ouvre à l’orgue l’itinéraire en tant que tel, ce parcours musical autour duquel le festival a grandi au fil des années. Variant les jeux avec bonheur dans le Ballo en sol de Sweelinck il va nous conduire sans heurts jusqu’à la lumineuse Bergamasca en Sol majeur de Frescobaldi
Des tuyaux sur l’opéra ramiste
UGAB. Eh non, il ne s’agit pas du DVD de l’Union Générale Arménienne de Bienfaisance mais bien du nom biblique de ce drôle d’instrument, magnifique, tonitruant, haut perché et mal aimé qu’est l’orgue d’église.
L’orgue : le roi des instruments ?
Cette brève synthèse, d’une extrême clarté, permettra aux lecteurs de se familiariser avec la facture – ô combien complexe – de l’orgue. Elle est extraite du Lexique musical raisonné de L’Histoire de la Musique Occidentale sous la direction de Jean et Brigitte Massin (Fayard, 2007).
L’orgue est décidemment le roi des instruments
Les Orgues Bernard Aubertin de Saint-Louis-en-l’île avait déjà fait les délices suprêmes de votre humble serviteur, lorsque doucement mis en branle par Gustav Leonhardt, maître incontesté et incontestable de l’instrument, le mois dernier.Voici l’occasion donc de les entendre à nouveau, et dans un répertoire totalement différent
L’Art de la fugue, un coup de Maître
L’Art de la fugue passe pour une œuvre difficile, réservée aux spécialistes, et même ennuyeuse, voire rébarbative. « Encore, aux instruments, pourquoi pas ? cela introduira du moins quelque variation, mais au seul clavier, Seigneur non ! » Moi-même, quand j’ai ouvert le paquet-surprise contenant ce disque, j’ai eu comme un mouvement de recul… et pourtant…