Étiquette : Barath Emöke

Concerts, Critiques

Saintes Femmes ! (Haendel, Resurrezione, Le Concert de la Loge, Chauvin – Festival de Saint-Denis, 13 juin 2024)

Georg Friedrich HAENDEL La Resurrezione Oratorio sur un livret de Carlo Sigismondo Capece, créé à Rome au palais Bonelli, le dimanche de...

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Concerts, Critiques, Non classé

Emois Croisés (Haendel, Rinaldo, Les Accents, Noally – Théâtre des Champs Elysées, 2 février 2024)

  Rinaldo, Georg Friedrich Haendel, Opera en trois actes, HWV 7b (1713) Livret de Aaron Hill d’après La Jérusalem Délivrée,...

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Concerts, Critiques

Heureux qui vit Ulysse… (Monteverdi, Il Ritorno d’Ulisse in Patria, I Gemelli, Emiliano Gonzalez Toro – TCE, 23 octobre 2021)

« Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison, Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui...

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Concerts, Critiques

Titus andronicus (Haendel, Radamisto, Lemieux, Jaroussky, Baráth, Bonitatibus, Wilder, Il Pomo d’Oro, TCE – 8 octobre 2021)

« En un mot, j’ai fait mille choses horribles avec l’indifférence qu’un autre met à tuer une mouche; et rien ne me...

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CDs & DVDs, Critiques

Homo festivus (Monteverdi, Orfeo, Gonzalez-Toro – Naïve)

On ne reviendra pas sur l’histoire de cet Orfeo mythique et mythologique, ou cette page n’y suffira plus. Considéré comme le premier opéra de l’histoire,  (« considéré » car il y eut l’Euridice perdue de Peri ou de Caccini et qu’il est toujours difficile de mettre un point de départ à cette forme), cet Orfeo créé en 1607 dans les appartements du palais ducal de Mantoue pour la très select Accademia degli invaghiti, se voit pour cette nouvelle parution paré d’une approche novatrice, extrêmement pensée, et dirigée par le ténor suisse d’origine Emiliano Gonzalez-Toro d’origine chilienne, familier du rôle titre, et qui a rendu hommage dans son récital Soleil noir chez Naïve à Francesco Rasi,  son homologue lors de la création mantovanne de l’Orfeo.

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Concerts, Critiques

Clair-Obscur (Leclair, Scylla et Glaucus – Opéra royal de Versailles, 04/11/2014)

Scylla et Glaucus, seul œuvre scénique connue du maitre de l’école française du violon fut représentée pour la première fois à l’Académie Royale de Musique de Paris le 4 Octobre 1746. A cheval entre l’ancien régime et les Lumières toutes naissantes, mais déjà bien établies, ce fut une œuvre résolument tournée vers l’avenir et comportant déjà certaines des idées que les Lumières porteront six ans plus tard et après…

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Concerts, Critiques

L’Amour par effraction

Qu’est-ce que l’amour ? Telle est la question après celle de Dieu et de l’être qui intrigue le plus la philosophie. Si le rapport à autrui dans nos sociétés contemporaines semble quelque peu se déliter, il est un lien certain qui est devenu l’obsession et la quête de jeunes et vieux : l’Amour.

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