Étiquette : ATMA

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Version redux (Gretry, L’Amant Jaloux, Notturna, Palametta – ATMA)

Ce qui frappe d’emblée, c’est le changement de climat et de caractère que la transcription confère à l’œuvre. D’une part, la réduction en effectifs s’accompagne d’une réduction en longueur, puisque les scènes parlées sont escamotées, et que les airs sont plus ramassés, afin d’éviter les redites entre orchestre et voix.

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Airs de Porpora

Avec une approche plus sobre mais tout aussi fantastique que celle du récent opus de Cécilia Bartoli que nous venons également de chroniquer (Decca), Karina Gauvin accompagnée par Alan Curtis et Il Complesso Barroco explorent le génie endormi de Nicola Porpora.

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Un Bach dégraissé

Voici Bach à la diète. Non celle de Ratisbonne, mais en cure d’amincissement. Bach à Bath en somme. Il faut dire que toute la profession semble s’acharner sur le pauvre homme. Le Dr. Rifkin a fait des émules depuis 1981, et les Dr. Parrot, Butt, McCreesh, Junghänel, S. Kuijken puis Pierlot ou Minkowski se sont ralliés, avec plus ou moins de bonheur, à ce traitement de choc.

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Plaisante conversation

Après la superbe intégrale de Monsieur de Sainte-Colombe précédemment chroniquées sur ces pages, les Voix humaines se sont alliées à d’autres artistes pour nous permettre en cette fin d’année 2008 de découvrir et d’apprécier un instrument trop méconnu dans un répertoire particulièrement valorisant.

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Concerts à deux violes inégalables

Voici une critique bien tardive et que nous avions prévu pour l’été. Mais l’écoute de ce monument discographique de près de huit heures méritait bien qu’on prenne le temps nécessaire, et il eut été malhonnête de chroniquer cette intégrale unique des Concerts à deux violes esgales de Sainte-Colombe (sans doute le Parisien Jean de Sainte-Colombe comme les recherches de Jonathan Dunford tendent à le prouver) sans en avoir admirer toutes les facettes.

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"Marais jouait comme un ange” — Hubert le Blanc

Pourquoi donc l’Ange Marais? En effet, ce titre que d’abjects parisiens snobs pourraient arrogamment qualifier de kitsch (votre serviteur le premier) — titre souligné par la photo des ailes d’un ange, détail d’une statue de marbre, sur la couverture du disque — pourrait en détourner quelques-uns.

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