Reflet sonore (Gluck, Echo & Narcisse, Le Concert Spirituel, Niquet – Château de Versailles Spectacles)
Christoph Willibald Gluck (1714-1787) Echo & Narcisse, drame lyrique en un prologue et trois actes sur un livret de...
« La Reine de France la plus musicienne et mélomane » (Patrick Barbier, Marie-Antoinette et la musique, Grasset)
Patrick BARBIER Marie-Antoinette et la musique Editions Grasset, janvier 2022, 448 pp, 25 euros. ISBN 978-2-246-82425-1 Le dernier ouvrage...
Sur les traces archéologiques d’Iphigénie, en Aulide
« L’Histoire est ce qui passe au milieu de ce qui demeure » (Sylvain Tesson, Blanc) Iphigénie en Aulide pour Gluck (1774, sur un...
Arbre de vie (Gluck, Armide, Gens, Bostridge ǀ Les Talens Lyriques, Rousset, Baur – Opéra Comique, 7 novembre 2022)
« Madame, il Armide est bientôt fini, et vraiment ce sera superbe » (Gluck à Marie-Antoinette op. cit. in Mémoires de Mme Campan)...
Armide bientôt à l’Opéra Comique ! Gens, Rousset, Baur (du 5 au 15 novembre 2022)
Christoph Willibald Gluck Armide, drame héroïque en cinq actes sur un livret de Philippe Quinault (1777) Six représentations Salle...
Jouets des dieux olympiens (Gluck, Iphigénie en Aulide, Chantres du CMBV, Concert de la Loge, Chauvin – TCE, 7 octobre 2022)
« Je te frapperai sans colère Et sans haine, comme un boucher Comme Moïse le rocher ! » (Charles Baudelaire,...
Ô malheureuse Iphigénie (Gluck, Iphigénie en Tauride – Opéra Garnier, 14 septembre 2021)
© Sébastien Mathé / Opéra National de Paris Iphigénie en Tauride Tragédie lyrique en 4 actes de Christoph Willibald von Gluck...
Pas que des anges… (deux biographies de castrats)
Il semble que la fascination exercée par les castrats, mode sur laquelle surfent des contre-ténors tels que Philippe Jaroussky, ait largement dépassé les frontières de l’hexagone. Deux récents ouvrages en anglais se penchent en effet sur la vie d’Atto Melani (1626-1714) et de Gaetano Guadagni (1728-1792), castrats italiens ayant participé pour l’un à l’âge d’or, pour l’autre au renouvellement de l’opéra baroque.
Les derniers feux des castrats
Le contre-ténor américain Bejun Mehta se produit assez rarement sur les scènes françaises, ce qui est bien dommage. De passage à Versailles pour nous offrir quelques airs extraits de son dernier CD « Che puro ciel », il nous a livré un panorama instructif des airs pour catrats dans la seconde moitié du XVIIIème siècle,…
Le beau doublé (Gluck – Iphigénie en Aulide / en Tauride – Les Musiciens du Louvre, Marc Minkowski – Opus Arte)
Arrivé à Paris à l’automne 1773 à l’instigation de sa protectrice la Dauphine Marie-Antoinette et soutenu par Antoine Dauvergne qui était alors l’un des Directeurs de l’Académie Royale de Musique, le chevalier Glück était venu en France avec le grand dessein de renouveler le genre de la tragédie lyrique française.
« Rien n’égale ma douleur »
Alors que les baroqueux redécouvrent avec joie le Gluck métastasien d’avant sa réforme de l’opéra seria, celui d’Ezio qu’Alan Curtis a exhumé avec platitude (Virgin, 2011), ou du superlatif Trionfo di Clelia (DHM, 2012), Laurence Equilbey, quittant ses rivages 19èmistes, a renoué avec Gluck. Et notre félicité est d’autant plus grande que l’artiste n’a étonnamment pas sélectionné la version remaniée par Berlioz, ni celle française de 1774…
Les fruits de la Passion
Après un premier volume consacré aux héroïnes d’opéras de Lully à Gluck (Virgin, 2006), encadré par les deux Armide, Véronique Gens revient nous proposer ses tragédiennes dans un nouveau programme consacré à la période suivante : de Rameau à Berlioz. Dès l’abord, on peut s’interroger sur la pertinence de relier Rameau à Berlioz, quand celui-ci renvoie plus volontiers à Gluck.
Un Salon de Musique tout en brocard, dentelles et satin
La France ne déroge décidément point à sa réputation d’inconstance légère, de versatilité surprenante et de revirements anté-chroniques. Marie-Antoinette, toute jeune mariée et dauphine de France, adorée et encensée malgré un comportement d’oiselle frivole…
Iphigénie en Ontario. VII-Les Représentations (du 31 octobre au 7 novembre)
Iphigénie en Ontario. Journal de répétitions avec du suspense, de l’action, de la musique, des Polaroïd 600 et des ballets, par Monsieur Charles Di Meglio augmenté for the eyes delight de photographies disparates. VI-Les Représentations (du 31 octobre au 7 novembre)
Iphigénie en Ontario. VI-L'Emménagement (du 27 au 30 octobre)
Iphigénie en Ontario. Journal de répétitions avec du suspense, de l’action, de la musique, des Polaroïd 600 et des ballets, par Monsieur Charles Di Meglio augmenté for the eyes delight de photographies disparates. VI-L’Emménagement (du 27 au 30 octobre)
Iphigénie en Ontario.V-L'Orchestre (du 24 au 25 octobre)
Iphigénie en Ontario. Journal de répétitions avec du suspense, de l’action, de la musique, des Polaroïd 600 et des ballets, par Monsieur Charles Di Meglio augmenté for the eyes delight de photographies disparates. V-L’Orchestre (du 24 au 25 octobre)
Iphigénie en Ontario. IV-Intermède (du 15 au 23 octobre)
Iphigénie en Ontario. Journal de répétitions avec du suspense, de l’action, de la musique, des Polaroïd 600 et des ballets, par Monsieur Charles Di Meglio augmenté for the eyes delight de photographies disparates. IV-Intermède (du 15 au 23 octobre)
Iphigénie en Ontario.III-Actio (du 5 au 14 octobre)
Une semaine seulement !
Et nous avons déjà déblayé près des neuf-dixièmes de l’opéra — nous avançons décidemment très vite, et très bien ; ne restent plus qu’un ou deux airs et récitatifs et à incorporer les ballets. Tant mieux, cela nous laissera quatre semaines pour ensuite filer, et préciser l’ensemble !
Iphigénie en Ontario. II-Incipio (du 28 septembre au 4 octobre)
Iphigénie en Ontario. Journal de répétitions avec du suspense, de l’action, de la musique, des Polaroïd 600 et des ballets, par Monsieur Charles Di Meglio augmenté for the eyes delight de photographies disparates. II-Incipio (du 28 septembre au 4 octobre)
Iphigénie en Ontario. I-Préambule (du 26 au 27 septembre)
Après huit heures de vol et des vents d’ouest trop forts pour nous permettre d’arriver à l’heure, me voilà sur l’hospitalier sol canadien, qui sera le mien pour six semaines. C’est pour travailler sur Iphigéne en Tauride de Christoph Willibald Glück que j’ai quitté Paris ce matin.