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mise à jour 6 janvier 2014
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Nigel Rogers : le demi-dieu de Monteverdi BIOGRAPHIE / EXTRAITS AUDIO COMMENTES Nigel Rogers en 2005. Né le 21 mars 1935, à Wellington (prononcez Vilain Thon à la
napoléonienne pour dénigrer le "vainqueur de merde" de Waterloo,
comme disait l'Empereur le matin du 18 juin 1815 dans la banlieue de Bruxelles, en parlant de la Guerre
de la Péninsule), Nigel David Rogers a été choriste à King's College Cambridge
de 1953 à 1956 et a reçu de nombreux diplômes : BA en 1956, MA en 1960
de Cambridge, Munich Hochschule für Musik en 1959-1961... Selon nos agents qui campent jour et nuit devant son cottage,
Nigel (qu'il nous pardonne une telle familiarité) aimerait la marche, le bon
vin, les voyages et les jolies jeunes femmes... Le ténor monteverdien par excellence C'est dans les années 1970 que Nigel Rogers atteint le sommet de son art, couronnement de longues périodes d'étude du chant ancien, en particulier du recitar cantando de la 2nde manière de Monteverdi. Cherchant à retrouver le "chant de gorge" issu de la Renaissance, attentif avant tout à l'expression dramatique, inébranlable dans les passagi ornementés si difficiles à chanter avec grâce, le ténor rayonne. Hélas, la voix s'usera à partir de la fin des années 1980, perdant son agilité légendaire, son assurance héroïque et sa virtuosité inégalée. A cet égard, son second enregistrement de l'Orfeo de Monteverdi, co-dirigé avec Charles Medlam (EMI), se révèle bien décevant. D'après mes impressions et le Baker’s Biographical Dictionary of 20th Century Classical Musicians (1997); International Who's Who in Music & International Directory (13th Edition, 1992/93). V.L.N. Les rééditions d'enregistrements des années fastes de Nigel Rogers sont désormais extrêmement rares, et quasi-impossibles à se procurer. Aussi, afin de partager avec vous notre enthousiasme et vous faire (re)-découvrir ce chanteur d'exception, la Muse Baroque met-elle gracieusement ces extraits à votre disposition, à titre purement illustratif. Voici donc de larges extraits de l'Orfeo, et des madrigaux complets de Monteverdi. Attention, le chargement peut prendre du temps, selon votre connexion Internet, car la compression est en qualité maximale. Si vous n'avez pas de haut débit, télécharger plutôt les fichiers sur le disque dur.
Orfeo (1607) dir. Jürgen Jürgens, Archiv, 1974 [Note : Depuis le 27 décembre 2006, cette version légendaire est de nouveau disponible dans une collection économique de surcroît. Pour l'instant, il faut la commander en Allemagne sur http://www.amazon.de/LOrfeo-Ga-Rogers/dp/B000L42GLQ/sr=8-3/qid=1167994327/ref=sr_1_3/028-0183354-9730179?ie=UTF8&s=music ] Acte II : la descente aux Enfers
Madrigaux
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Affichage recommandé : 1280 x 800 Muse Baroque, le magazine de la musique baroque tous droits réservés, 2003-2014
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