De la couleur
Frédérick Haas possède une connaissance approfondie de la facture des instruments, et des secrets de leurs réglages. C’est cela qui lui permet ce dialogue si intime avec l’instrument. Car le clavecin de Haas est tout sauf métallique. Sous ses doigts d’une précision jamais répétitive, l’écriture ciselée et fort ornementée de D’Anglebert résonne avec l’amplitude de l’orchestre lullyste…