Étiquette : Arpeggiata

Concerts, Critiques

Carnet de Festival (2) : Horizons lointains ǀ Alkymia, Arpeggiata (Ambronay , 1er octobre 2022)

Un festival a ceci de particulier que l’on se laisse rapidement envouter par la musique et par les lieux, au point d’en oublier...

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Concerts, Critiques

Carnet de Festival (3) : Miracolo d’Amore avec l’Arpeggiatta (Ambronay, 25 Septembre 2021)

“La musique donne une âme à nos cœurs et des ailes à la pensée” (Platon) Dernière journée à Ambronay. Elle aurait dû...

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Actualités, Brèves

Saint-Michel en Thiérache : le festival est lancé du 6 juin au 4 juillet !

Qu’y a t-il donc à Saint-Michel en Thiérache ? Mais si, voyons, au nord-est du département de l’Aisne, ces...

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CDs & DVDs, Critiques

Rendez-nous les antiennes !

La surprise est de taille : l’intégralité des Vêpres à la Vierge de Monteverdi contenues, contraintes, comprimées, retenues dans un CD simple. On se frotte les yeux en se demandant d’abord si la technologie du CD n’a pas fait un bond pour l’humanité ou si Christina Pluhar ne s’est pas laissé aller à des coupes franches par rapport à l’édition de Venise, dédiée à Paul V en 1610…

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CDs & DVDs, Critiques

Danse thérapeutique

Chaque année Alpha réédite un CD phare accompagnant son catalogue qui devient de plus en plus époustouflant tant il allie audace et beautés visuelle et auditive. Le choix de cette année met en pleine lumière un enregistrement de 2001 (déjà !) qui est devenu culte et qu’il fait bon de réécouter.

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CDs & DVDs, Critiques

On the road

Mai-Juin 2010. Que peux contenir un luxueux digipack, doté d’un livret de 79 pages, et d’un généreux DVD bonus ? La dangereuse récidive de l’Arpeggiata de Christina Pluhar, soucieuse de poursuivre son voyage à travers les cultures, qu’il s’agisse des genres ou des continents.

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CDs & DVDs, Critiques

Monteverdi, cheek to cheek

Avril 2009. Voilà un enregistrement qu’on aime ou qu’on quitte. Un enregistrement qui flirte allégrement avec le jazz, qui use et abuse des syncopes et d’une attitude nonchalante et détendue. Où l’Italie du XVIIème siècle s’oublie dans les cabarets d’outre-Atlantique. Cette vision, qui nous avait seulement partiellement convaincus en concert, réussit étonnamment son passage au disque, sur un théâtre d’amour d’une rare finesse, où la poésie affleure, et où il fait bon skater.

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