Aart van Antum (1579–1620), navire français attaqué par des pirates barbaresques (vers 1615), huile sur toile, National Maritime Museum de Greenwich – Wikimedia Commons
Non, ce ne sont pas les corsaires barbaresques, ni ceux de la Perfide Albion. Peut-être est-ce le fait d’espions venus du froid ? De rivaux jaloux ? D’artistes mécontents ? On ne saurait l’imaginer, et nous penchons plutôt pour des attaques massives où notre monde baroque se serait fait alpaguer, comme cela, dans le lot, dans le tas, comme un dommage collatéral. Depuis quelques jours, notre Muse est ainsi l’objet de plusieurs attaques informatiques. Plusieurs d’entre elles ont été courageusement déjouées mais le fonctionnement normal du magazine est altéré, et vous verrez parfois des erreurs de mise en page, de formats d’images, voire des pages inaccessibles. Nous nous en excusons et faisons le nécessaire au plus vite afin de rétablir la continuité de notre havre baroque qui n’aspire qu’au calme des passions et à une heureuse paix. [V.-L.N.]
Dernière modification: 29 avril 2024
