Étiquette : Hantaï Pierre

Actualités, Brèves

17ème festival Marin Marais jusqu’au 23 octobre

  L’Association Caix d’Hervelois, sous l’égide de Claire Giardelli & Jean-Louis Charbonnier, a ouvert le 17ème...

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Actualités, Brèves

Bach et le clavecin à l’honneur (Festival La Dive Musique, Touraine & Anjou – 12 au 22 août)

  Nous profitons de l’été pour relayer quelques nouvelles de certains festivals hélas un peu confidentiels (et c’est...

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CDs & DVDs, Critiques

Le Sapin de la Muse : notre sélection de disques pour Noël

Nous renouons avec nos anciennes traditions, avec ce rendez-vous annuel, notre sélection discographique des CDs et DVDs baroques à emballer sous le sapin. Pour effectuer un tel choix drastique, soyons transparents sur nos critères et contraintes avant de laisser libre court à nos envies.

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Concerts, Critiques

La cérémonie

Dans les pérégrinations d’un journaliste, il est des concerts particuliers. Le programme annonçait de belles heures, la renommée clamait de sa trompette altière la grandeur d’un interprète. Et l’illusion ajoutait un brin d’excitation, une puissance dans la fantaisie, une touche d’émotion dans le fantasme.

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Concerts, Critiques

“Quand on joue, on ne pense pas : on a pensé.”

Pierre Hantaï a composé un programme couvrant, chronologiquement, la majeure partie de l’école française de clavecin : de Louis Couperin (vers 1626–1661) à Jacques Duphly (1715–1789) en passant, bien sûr, par François Couperin et Jean-Philippe Rameau.

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CDs & DVDs, Critiques

Le jeu en valait la chandelle

Après Händel, Bach ! Parallèlement à une activité de défricheur en matière de musique française – dont une collection consacrée à Lully et une autre à Rameau font état, pour ceux qui n’auraient pas la chance de posséder quelques disques épuisés consacrés à Desmarest ou Gautier de Marseille…

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CDs & DVDs, Critiques

L’avarice fait de bien beaux tableaux

Il avait deux passions dominantes, l’avarice et les tableaux, mais seulement ceux qu’il pouvait obtenir sans payer. Sa garde robe était défraîchie, il allait toujours à pied, et donnait les prétextes les plus étranges pour expliquer à ses amis pourquoi il n’avait pas ce jour-là pris de voiture. Tel est le portrait peu laudatif que dresse Haendel de Corelli.

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