Pointilliste (Bach, pièces pour luth, Diego Salamanca – Seulétoile)
Jean-Sébastien BACH (1685-1750) JS Bach au luth Suite en sol mineur BWV 995 Partita en do mineur BWV 997 Prélude, Fugue et Allegro BWV...
Le pinceau et le luth (Evaristo Baschenis, Galerie Canesso, Paris – du 6 octobre au 10 décembre 2022)
« Le premier mérite d’un tableau est d’être une fête pour l’œil. » (Delacroix) On ne jurait jusqu’ici que...
Du bout des doigts (Weiss, Pièces de luth, Diego Salamanca – Seuletoile)
Voici la première incursion discographique en solo pour le luthiste Diego Salamanca, dont le nom est familier aux mélomanes fans de l’Ensemble Pygmalion ou Correspondance. Et l’artiste, également passionné de photographie, a décidé d’enregistrer entre les vieilles pierres du donjon de Vez (Oise), entre froidure médiévale et art résolument moderne…
Philip K. Dick et John Dowland : improbable rencontre
On ne placera pas cette nodule dans la rubrique consacrée à la Littérature, la Vraie, la Grande avec un grand L, celle où Monsieur de Saint-Simon côtoie Racine, et où Crébillon passe déjà pour un dramaturge passable à la recherche du spectaculaire. Mais comment résister au plaisir de partager avec vous, ô lecteurs, une rencontre du 3ème type des plus inattendues. Celle qui figure dans un conte dystopique du maître du roman de science-fiction Philip K. Dick.
De l’art d’en pincer pour les cordes
Lecteur qui vous amusez sans doute de cet échange imaginaire mais ô combien inspiré de murmures réels, saurez-vous distinguer ces différents instruments de la famille des luths que sont le luth, l’archiluth, le théorbe, le chitarrone, sans compter la mandore, l’angélique ou le colachon ?
Un Bach dansant
Bach n’était pas très au point sur le luth. Voilà qui peut paraître choquant. C’est ainsi. Tous les luthistes savent combien ces suites, préludes et partitas sont difficiles à jouer, non seulement en raison de leur virtuosité mais de passages impossibles techniquement à jouer…
Luth et approuvé
Après la version d’Hopkinson Smith d’un optimisme dansant (Naïve) au sujet de laquelle nous avions en quelques lignes fait connaître notre admiration, le jeu sympathique mais moderne de Boels (Calliope) chroniqué par notre consœur ce mois-ci nous a conduit à nous replonger dans notre discothèque pour en exhumer cet enregistrement remarquable et trop peu distribué.
Oui…non… m’enfin…
Parfois, le sort est cruel avec Vivaldi, et on se prend à imiter les accents d’un John Hawkins acerbe dès 1776 sur les talents de compositeur du Prêtre Roux. Parfois le sort est cruel avec le Jardin Harmonique, et on se prend à imiter les accents d’un C. H. du temps de sa splendeur à Répertoire, lorsqu’il parachutait d’infâmes critiques réduisant des carrières en cendres avec plus ou moins d’à-propos mais sans se départir de sa verve inimitable.