Amour et Foi (Pulcinella, David DQ Lee, Froville, 21/06/2014)
Encore ce soir, le Festival de musique ancienne et baroque de Froville n’a rien à envier aux plus grandes scènes nationales ou internationales. La saison 2014 se révèle être un excellent cru face à la qualité des ensembles et artistes invités à se produire dans cette magnifique église baroque datant du XIIe siècle.
Fantastique Fagioli… (Il Pomo d’or, Minasi, Fagioli, Froville, 13/06/14)
Fondé en 2012, Il Pomo d’Oro s’est très vite imposé sur la scène baroque internationale notamment à Paris, Munich, Londres, Barcelone, Genève. L’ensemble tire son nom d’un opéra d’Antonio Cesti composé en l’honneur du mariage de l’empereur d’Autriche Léopold Ier avec Margarita Teresa d’Espagne à Vienne en 1666. Si l’opéra attire beaucoup cet ensemble, il raffole aussi de musique instrumentale comme l’atteste le programme de ce soir.
L’élégance et la grâce incarnée… (Rokoko, Max Emanuel Cencic, Froville, 17/05/2014 – parution tardive)
Depuis sa création en 1998, le Festival de musique sacrée et baroque de Froville se révèle être un véritable découvreur de talents tels que Philippe Jaroussky, Franco Fagioli, David Hansen, Iestyn Davies…, et bien sûr Max-Emanuel Cencic. Froville, notamment grâce au soutien du Conseil général de Meurthe et Moselle et de la Région Lorraine ainsi que d’autres partenaires, apparaît comme un des moteurs de promotion de la musique baroque.
L’éclat et la pureté du diamant (La Risonanza, Bonizzoni – Festival de Froville – 01/06/2014)
Pour son quatrième concert, le festival de Froville (54) accueille La Risonanza qui se produit pour la première fois dans cette magnifique église baroque. Cet ensemble vocal et instrumental créé en 1995 par le claveciniste et organiste Fabio Bonizzoni, est spécialisé dans l’interprétation de la musique italienne, particulièrement celle de la fin du XVIIème et du début du XVIIIème siècle.
La jeunesse comme maître mot… (Le Palais Royal, Sarcos – Festival de Froville – 30/05/2014)
La jeunesse sera bel et bien le fil conducteur de cette soirée comme vous pourrez vous en rendre compte tout au long de ce concert. Festif, chaleureux, exigeant : c’est ainsi que le chef d’orchestre Jean-Philippe Sarcos définit son ensemble Le Palais royal, qui réunit en son sein des instruments anciens et un chœur, ce soir, en l’occurrence un duo soprano/contre-alto.
Il Maestro
Niccolo Porpora a eu une vie complète. Avec ses bons et mauvais moments et toute l’étendue de l’humanité dans ses moindres saltimbanques. De Naples à Venise et de Londres à Vienne, il parcourut l’Europe du succès à la misère et de la gloire à l’oubli.
Absolutely faboulous
Les martinets ont installé définitivement l’été dans les verts coteaux de Lorraine. Leurs silhouettes stridentes mouchetaient l’azur absolu de célères imprécations. Au cœur des vallées où le vent joue à ébouriffer les blés en herbe, entre les rus secrets et les plaines ensoleillées, les clochers tels des guets anciens, dressent leur prière de pierre aux empyrées séculaires.