Jordaens, La gloire d’Anvers (Petit Palais, Paris)
Pour ceux qui n’y sont pas déjà précipités, il reste encore deux semaines pour apprécier le talent de Jacques Jordaens (erronément rebaptisé Jacob par les historiens de l’art pour faire plus flamand), souvent hélas considéré comme un peintre mineur et un peu grossier, dont la truculence explose dans Le Roi boit et autres saynètes caricaturales et moralisatrices.
Rubens, Van Dyck, Jordaens et les autres (Musée Marmottan, Paris)
Belle bâtisse de la fin du XIXème siècle à la lisière du cossu XVIème arrondissement, le musée Marmottan Monet est connu pour sa collection de toiles impressionnistes, même si sa principale richesse réside à mon sens dans sa magnifique collection de meubles Empire (lit de Napoléon de la Préfecture de Bordeaux aux urnes antiques finement ciselées, impressionnant bureau-ministre aux lions, sans compter les innombrables girandoles de bronze doré et la délicate pendule Hermès en biscuit de Sèvres…)…