Raphaël : quatre consonnes, et trois voyelles
Hum… oui… bon… m’enfin. Tels sont les mots qui viennent à la bouche du critique bredouillant et perplexe face à ce disque à la jaquette sublime, où un homme en bonnet (ressemblant à un vieux mandarin en chignon) passe devant un paysage de nuages ocres.