« Le bel âge d’or »
Des 5000 pages de L’Astrée, le lecteur moderne ne connaît souvent rien, et ignore même que ce nom d’Astrée est celui de la bergère. Il pouvait donc paraître téméraire de proposer un programme autour de ce roman. L’auditeur sera sans doute surpris de voir que plusieurs pièces ne tiennent que de manière un peu lâche au roman d’Urfé, et qu’il s’agit plus en réalité d’un disque d’airs de cour autour de L’Astrée que sur L’Astrée proprement dit.