« Celui qui est destiné à cultiver un art doit, pour ainsi dire, respirer en naissant l’air de cet art, (…) »
L’Histoire vit dans un dilemme constant. Elle a tellement accumulé d’informations qu’elle souffre d’un Alzheimer à rebours. La mémoire ne lui est acquise que par le rappel des générations nouvelles. Elle demeure quelque peu sentimentale par rapport à ses mythes, à ses jeux de miroirs et d’inventions.