Rêveur et mystérieux
Etrangement, cette critique était déjà terminée aux trois-quarts depuis février dernier, date de parution de cet opus remarquable. Puis, des évènements tragiques personnels sont venus en bouleverser quelque peu la parution, qui fut mise de côté, tout simplement.
En tournant les pages du cahier…
Un nouveau label créé pour l’occasion, un digipack épais, manuscrit, presque artisanal. Haendel au piano. Encore. On met le disque sur la platine, presque à regret devant ce nouvel outrage fait à notre clavecin chéri pour goûter la sensualité d’une caresse, la douceur satinée d’un toucher qui prend son temps…