Director’s cut (Rameau, Zoroastre, Les Ambassadeurs-La Grande Ecurie, Kossenko – Théâtre des Champs Elysées, 16 octobre 2022)
Jean-Philippe RAMEAU Zoroastre, tragédie lyrique en cinq actes sur un livret de Louis de Cahusac (recréation de la version inédite de...
Bouillonnant (Per l’orchestri di Dresda, Les Ambassadeurs – La Grande Ecurie, Kossenko – Aparté)
Per l’orchestri di Dresda Johann David Heinichen (1683-1729) : Diana sull’Elba, S.200 : Sonata Jan Dismas Zelenka (1679-1745) : Il...
Volez Zéphyrs ! Le CMBV donne un coup de pousse aux jeunes artistes
Nous relayons de la part du CMBV une louable initiative qui permettra de lancer de jeunes interprètes à l’orée de leur carrière....
« C’est l’âme qui doit jouer. » (C.P.E. Bach, Trios Sonatas, Les Ambassadeurs, Kossenko – Alpha)
L’année 2014 aurait pu être consacrée à Carl Philipp Emmanuel Bach qui, dans l’ignorance quasi-générale, a soufflé sa trois-centième bougie. Le label Alpha lui rend cependant un bel hommage en publiant plusieurs de ses Sonates en trio pour violon, flûte et clavecin, accompagnées de concertos pour flûte enregistrés antérieurement.
« Les maîtres de musique »
Après l’édition de l’an passé, nous revoici à Lanvellec pour la fin de cette édition consacrée cette fois-ci consacrée aux maîtres de musique, mais qui ne délaissera pas la « folie » qui nous avait précédemment gagné. On y retrouve cette ambiance si particulière et terriblement difficile à transcrire, la magie des lieux que transcende la musique…
L’art de faire briller les cuivres
Le Prete Rosso est à l’honneur pour ce premier volume consacré à l’orchestre de Dresde, formation fameuse à l’époque, l’ensemble le plus parfait selon Rousseau dans son Dictionnaire de Musique, célèbre notamment pour la rutilance de ses cuivres et la présence de ses bois, doté d’une personnalité fortement affirmée, à la fois de par son instrumentarium et ses effectifs.
Un plaisir calme et apaisé
Charpentier a écrit plusieurs cycles de leçons de ténèbres, à différentes périodes de sa carrière. Les premières étaient très ornementées, dans la plus pure tradition française, cette tradition même qui sera ensuite rejetée par une partie de l’Église, scandalisée de voir que les églises se muaient quasiment en maisons d’opéra pour l’occasion.
Et flûte ! (CPE Bach, Concerti – Kossenko, Arte dei Suonatori – Alpha)
Ce deuxième et dernier volume des concertos pour flûte de C. P. E. Bach, attendu après un brillant premier, ne déçoit pas. Dès les premières mesures, le caractère enflammé, Strum und Drang, transparaît ; mais dès l’entrée du soliste on entend que le disque ne sera pas non plus uniforme.